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  • : Le blog des Grande-et-petites-histoires-de-la-thaïlande.over-blog.com
  • : Bernard, retraité, marié avec une femme de l'Isan, souhaite partager ses découvertes de la Thaïlande et de l'Isan à travers la Grande Histoire et ses petites histoires, culturelles, politiques,sociales ...et de l'actualité. Alain, après une collaboration amicale de 10 ans, a pris une retraite méritée.
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Pourquoi ce blog ?

  Il était une fois Alain, Bernard …ils prirent leur retraite en Isan, se marièrent avec une Isan, se rencontrèrent, discutèrent, décidèrent un  jour de créer un BLOG, ce blog : alainbernardenthailande.com

Ils voulaient partager, échanger, raconter ce qu’ils avaient appris sur la Thaïlande, son histoire, sa culture, comprendre son « actualité ». Ils n’étaient pas historiens, n’en savaient peut-être pas plus que vous, mais ils voulaient proposer un chemin possible. Ils ont pensé commencer par l’histoire des relations franco-thaïes depuis Louis XIV,et ensuite ils ont proposé leur vision de l'Isan ..........

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Merci d’être venu consulter ce blog. Si vous avez besoin de renseignements ou des informations à nous communiquer vous pouvez nous joindre sur alainbenardenthailande@gmail.com

7 mai 2023 7 07 /05 /mai /2023 04:05

 

Nous avons souvent ouvert nos colonnes à nos très érudits amis de l’Association internationale des collectionneurs de timbres-poste du Laos en particulier Philippe Drillien et son épouse Dominique et Jean-Michel Strobino, l’infatigable érudit niçois. Leur activité qui ne se limite pas à ces vignettes nous offre le fruit de recherches concernant au moins pour partie le nôtre tant l’histoire et la culture de l’ancien Siam sont étroitement liés à l’ancien Laos. Ainsi en est-il de Jean-Michel Strobino dont nous avons partagé les découvertes « au fil du Mékong », découvertes in situ, de monuments ou lieux de souvenirs perdus de vue mais aussi de pionniers oubliés de cette épopée coloniale. En voici la liste (1)

Le personnage dont il a purement et simplement découvert l’œuvre et l’existence est un photographe français. La photographie a été introduite en Asie dès les années 1840, et plus largement à partir des années 1850, dans le sillage des conquêtes occidentales. Elle fut dans un premier temps pratiquée par des opérateurs européens qui vont ensuite transmettre leur technique et former des opérateurs locaux. Il faudra attendre les années 1970, et beaucoup de recul pour que les historiens s’y intéressent et lui redonnent sa place dans l’histoire mondiale de la photographie.

Nous reproduisons l’article relatant cette découverte avec son amicale autorisation. Il nous livre quelques explications sur l’exploitation de forêts de tek par les concessionnaires occidentaux et surtout de magnifiques photographies provenant des exploitations de tek dans le nord de la Thaïlande.  Laissons-lui la parole au bénéfice de quelques observations préalables

 

Observations préliminaires

 

Sur le teck de Thaïlande (ต้นไม้สัก tonmaisak)

 

Le teck se trouve surtout dans les provinces du nord de la Thaïlande, Chiang Mai (เชียงใหม่), Chiang Rai (เชียงราย), Lamphun (ลำพูน), Lampang, (ลำปาง), Phrae (แพร่) et Nan (น่าน). Phrae est la province la plus réputée pour ses bois précieux. Il en est d’autres, citons les pour mémoire, une liste non limitative : Le Pradu (ไม้ประดู่), le Daeng ไม้แดง, le Makha (ไม้มะค่า), le Tabaek (ไม้ตะแบก) et bien d'autres. Tout est dit et aussi bien dit que remarquablement illustré sur le site de notre ami Jean de la Mainate dont l’érudition est sans failles

https://www.merveilleusechiang-mai.com/teck-le-a-teack-a-360536573609362636333585-tone-sak

 

 

Sur son exploitation

 

Nous trouvons cette longue histoire détaillées dans l’incontournable « Directory for Bangkok and Siam – 1914 » dans le chapitre « Forest law » sur https://archive.org/details/bangkoksiamdirec1914bank.

 

 

Elle concerne le premier tiers du siècle dernier, celui où opérèrent nos pionniers. Elle ne fut sérieusement réglementée qu’à partir de 1896 sous l’égide d’un fonctionnaire de l’administration britannique des Indes, M. H. Slade, officier de l'Imperial Forest Service des Indes, qui fit prendre diverses diverses mesure pour protéger les précieuses propriétés forestières du gouvernement :

La création d'un département des forêts, avec un personnel initialement européen recruté autant que possible dans le service forestier impérial et provincial de l'Inde et de la Birmanie, dont la tâche non la moindre était  la formation de jeunes siamois sélectionnés avec en vue de pourvoir à l'avenir des postes de responsabilité au sein du Ministère.

La promulgation au fil des ans de divers arrêtés royaux par Sa Majesté, prévoyant une meilleure protection et un meilleur contrôle des forêts, et interdisant absolument tout travail sauf en vertu d'un bail.

 

Sur l’East Asiatic Company

Voir https://en.wikipedia.org/wiki/EAC_Invest_A/S

 

 

L’activité de nos deux pionniers se situe partiellement au cœur de cette Compagnie danoise. Elle a été créée à partir d'Andersen & Co., une société que Hans Niels Andersen et son collègue, le capitaine Peter Andersen, ont créée à Bangkok en 1884. Les activités de la société comprenaient le commerce et l'expédition de teck et sont également devenues plus tard le propriétaire de l'hôtel Mandarin Oriental à Bangkok. Elle est toujours en activité sous forme d’une holding tentaculaire.

 

 

Il en reste un vestige historique dans le nord de la Thaïlande avec le Musée du teck (พิพิธภัณฑ์ไม้สัก - Phiphitthaphan maisak) situé dans la province de Phrae. Les bâtiments du musée servaient de bureau à l'entreprise et de logement pour les cadres et officiers pendant sa concession de teck. Le musée expose également des photos de l'histoire du travail du bois et des équipements utilisés et exportés dans le passé. Le site Internet du Musée (en thaï) donne d’intéressantes précisions et quelques bonnes photographies non attribués :

https://www.museumthailand.com/th/3536/storytelling/พิพิธภัณฑ์ไม้สัก/

 

 

 

 

Jean-Michel Strobinoe : Félix AGASSIZ : sur la piste d’un photographe français oublié

En 2013 j’ai eu le plaisir de faire connaître en France la vie singulière de Peter Hauff à travers une notice biographique intitulée «Peter HAUFF (1873–1951) - Les aventures d‘un marchand norvégien en Indochine au début du XXe siècle» :

https://www.academia.edu/11781072/Peter_HAUFF_1873_1951_un_pionnier_du_Laos
 

 

Ce travail a été rendu possible grâce la collaboration active de Fleur Brofos Asmussen, sa petite-fille avec qui je suis toujours en contact et qui m’a beaucoup aidé dans mes recherches. Elle a eu la gentillesse de me faire partager ses souvenirs en mettant à ma disposition de nombreuses photographies de famille ainsi que le manuscrit -jamais publié à ce jour- des mémoires indochinoises de son grand-père.

En relisant récemment ce récit passionnant, un passage a attiré mon attention. En 1903, la maison de négoce Denis Frères de Saigon vient de signer un important contrat d’achat de bois de teck auprès du vice-roi de Luang Prabang. Elle confie à Peter Hauff, fort de sa grande connaissance de la région et de la navigation sur le Mékong, le soin d’organiser le convoyage des troncs (environ 1.200) sur le grand fleuve jusqu’à Saigon. (Fig.1 et 2)

 

 

Après bien des péripéties, les billes de teck arrivent aux chutes de Khone où Peter Hauff supervise leur franchissement dans la passe de Sadam, l’un des innombrables bras que forme le Mékong à cet endroit avant de se fracasser en cascades quelques dizaines de mètres en contrebas. Cette opération délicate nécessite deux mois entiers de travail, d’octobre à novembre 1903, durant lesquels Peter est contraint de vivre dans une cabane de bambou qu’il s’est construite à l’extrémité sud de l’île de Sadam (Don Sadam).

Lors de ce séjour forcé, il rencontre deux voyageurs danois qui souhaitent visiter les différentes chutes alentour. Messieurs Vilhelm Guldberg et Jørgen Fenger effectuent un voyage de reconnaissance du Mékong laotien pour le compte de l’East Asiatic Company (en danois Det Østasiatiske Kompagni ou ØK), une importante société danoise de transport maritime et de négoce de bois (Fig.3 à 7).

Peter Hauff accepte volontiers de  leur servir de guide à travers ce site grandiose. (Fig.8 et 9)

 

Voici précisément ce que Peter Hauff écrit dans son journal au sujet de cette rencontre :

« Alors que je séjournais à Don Sadam, je reçus la visite de deux voyageurs danois, messieurs Guldberg et Fenger de la East Asiatic Company de Bangkok, qui voyageaient pour leur plaisir et étaient accompagnés d’un photographe français, monsieur Azassiz, que j’avais déjà eu l’occasion de rencontrer à Singapour. »

Poussé par la curiosité, j’ai cherché à en savoir plus sur ces trois personnages qui ont croisé l’espace d’un instant la route de Peter Hauff. Si j’ai pu trouver assez facilement certains éléments biographiques concernant les deux voyageurs danois, j’ai par contre rencontré plus de difficultés à obtenir des renseignements sur ce photographe français dont je n’avais jamais entendu parler auparavant. (Fig.10)

 

C’est en fait le hasard (on dit qu’il fait parfois bien les choses !) qui m’a mis sur sa piste.

Au mois de mars 2022, j’ai reçu un message de Monsieur Antoine Hiemisch, responsable du fonds ASEMI (Asie du Sud-Est et Monde Insulindien) de la bibliothèque Lettres, Arts, Sciences humaines de l’Université Nice-Côte d’Azur. Hébergé par cette dernière depuis 1988, le fonds ASEMI est constitué d’une précieuse collection de plus de 20.000 documents dont près de 10.000 issus de l’ancien Musée des colonies, 6.000 photographies prises entre 1860 et 1960 et un millier de cartes et plans. L’aire géographique couvre de nombreux pays : Vietnam, Cambodge, Laos, Inde, Chine, Japon, Corée, Philippines, Indonésie, Madagascar… En raison de leur importance pour l’histoire coloniale française, les documents du fonds ASEMI ont reçu le label « Collection d’excellence pour la recherche ». Depuis 2019, une bonne partie de ces photos a été numérisée et mise en ligne progressivement sur la bibliothèque numérique de l'université :

https://humazur.univ-cotedazur.fr/

Monsieur Hiemisch venait d’être contacté par un chercheur danois travaillant sur l'histoire de l'East Asiatic Company au Siam qui s’était connecté à la bibliothèque numérique de l’Université pour y consulter un album de photographies anciennes sur les activités au Siam et au Laos de la société danoise. Aucun élément dans l’album ne permettant d’identifier son propriétaire ni l’auteur des clichés, le Danois suggérait qu’il pouvait avoir appartenu à Peter Hauff.

Monsieur Hiemisch qui ne connaissait pas Peter Hauff auparavant, se lance alors dans des recherches sur internet et découvre l’existence de mon article (encore le hasard…). Constatant que nous résidions dans la même ville (toujours le hasard…), il me contacte et nous ne tardons pas à nous rencontrer à la bibliothèque pour que je puisse examiner le document et son contenu en détail.

Quel plaisir de parcourir les 54 planches de ce magnifique album et étudier chacune des 350 photographies exceptionnelles qui le composent ! L’ouvrage numérisé est consultable sur :

http://humazur.univ-cotedazur.fr/omeka-s-dev/s/humazur/ark:/17103/2tpf

L’album retrace dans l’ordre chronologique le voyage effectué en 1903 par Messieurs Guldberg et Fenger pour le compte de l’East Asiatic Company qui leur avait confié la mission de réaliser un reportage les activités au Siam de la compagnie et de rechercher de nouveaux marchés pour ses produits et services. On suit leur parcours depuis Bangkok en remontant la rivière Chao Phraya, jusqu’aux forêts de tecks du nord du Siam où ils séjournent dans les exploitations de l’East Asiatic Company. Ils arrivent ensuite sur les bords du Mékong et redescendent son cours à travers tout le Laos jusqu’à Khone à l’extrême sud du pays, après avoir visité en chemin Luang Prabang, Pak Lay, Vientiane, Savannakhet et Paksé.

Les clichés sont d’une qualité remarquable et d’une grande valeur tant pour leur intérêt historique que par la richesse des sujets abordés : vie quotidienne dans les exploitations de teck, éléphants au travail, portraits de populations locales, scènes de transport fluvial par pirogues, vues inédites de chaloupes à vapeur des Messageries fluviales de Cochinchine : La Grandière, Trentinian, Garcerie, scènes de paysages le long du Mékong laotien : grotte de Pak Ou, marché à Luang Prabang, Vientiane, rapides de Khemmarat, chutes de Khone. (Fig.11 à 24)

 

 

Contrairement à l’hypothèse émise par le chercheur danois, je ne pense pas que l’auteur des photographies de l’album soit Peter Hauff mais plutôt le photographe français qu’il évoque dans son récit, recruté par les deux voyageurs danois pour assurer le reportage photographique durant leur périple. Il est par contre encore difficile de savoir à qui appartenait l’album (Azassiz, Guldberg, Fenger, Hauff ou quelqu’un d’autre ?), ni comment il a pu arriver dans les collections du fonds ASEMI. J’ai été très étonné de constater que plusieurs clichés de l’album étaient identiques à certains que Fleur Brofos Asmussen avait retrouvés dans la collection de son grand-père et avait mis à ma disposition pour illustrer ma notice biographique. Je pense qu’il pourrait s’agir de tirages que le photographe aurait offerts à Peter Hauff en souvenir de leur rencontre à Khone et en remerciement de l’aide apportée sur place.

Après avoir examiné en détail ces magnifiques photographies, j’étais curieux d’en savoir plus sur leur auteur, cet étrange «Monsieur Azassiz», tel qu’il est orthographié dans le manuscrit de Peter Hauff. Malheureusement, toutes les recherches que j’effectuais à ce nom restaient infructueuses. J’en ai alors déduit que Peter Hauff n’avait sans doute pas retranscrit correctement le nom du photographe…

Et puis le hasard (toujours lui !) m’a permis de découvrir un livre fort bien documenté sur l’histoire des débuts de la photographie à Singapour, écrit par John Falconer : A VISION OF THE PAST, A history of early photography in Singapore and Malaya : The photographs of G.R. Lambert & Co., 1880-1910 (Times Editions, Singapour, 1987). (Fig.25)

A la fin de l’ouvrage, un index alphabétique répertorie tous les photographes qui ont exercé à Singapour et en Malaisie de 1813 à 1914. En parcourant attentivement les noms de cette liste, j’ai eu la surprise d’en trouver un qui ressemblait de très près à Azassiz, un certain F. Agassiz qui, entre 1895 et 1897, a été photographe-assistant à Singapour chez G.R. Lambert & Co., le plus célèbre studio photographique de l’époque et éditeur de cartes postales (Fig.26 et 27), puis propriétaire de son propre atelier, The Photographic Studio, de 1898 à 1905. (Fig.28)

 

 

Les coïncidences de dates, lieux et activités professionnelles sont trop nombreuses pour ne pas croire que F. Agassiz est bien cet Azassiz décrit par Hauff. Pour autant, même après avoir retrouvé l’orthographe exacte du nom, il n’a pas été facile d’obtenir plus de renseignements sur ce photographe méconnu.

Mon ami William Gibson, grand spécialiste de l’Indochine, auteur, artiste, chercheur associé à la Bibliothèque nationale de Singapour et membre de notre association, que j’ai questionné à ce sujet m’a répondu qu’il n’avait jamais entendu parler de ce photographe auparavant. Les recherches qu’il a effectuées pour moi dans les collections de photographies sur Singapour au XIXe siècle ne lui ont pas permis de trouver des clichés d’Agassiz. Son nom ne figure pas dans l’ouvrage The Directory & Chronicle for China, Japan, Corea, Indo-China, Straits Settlement…, pour les années 1880 à 1900, pas plus que dans The French in Singapore: An Illustrated History - 1819-today (Didier Millet Pte. Ltd., Singapour, 2012).

William a néanmoins réussi à retrouver quelques rares articles concernant le photographe parus dans la presse locale de l’époque. On y apprend que son prénom était Félix, que son studio photographique était situé 56 Hill street, à l’angle de Stamford Road, et qu’il était spécialisé dans les portraits et les scènes de paysages. Parallèlement à la photographie, il avait investi dans des opérations d’extraction minière dans la vallée de Sungei Kerpan, à proximité de Lipis en Malaisie continentale, mais avait rapidement dû abandonner le projet qui ne s’est pas avéré être une bonne affaire. Un avis de décès paru dans l’hebdomadaire The Singapore Free Press and Mercantile Advertiser du 14 Février 1907 indique qu’il est mort le 11 février 1907 à l’hôpital de Singapour.

L’histoire de ce photographe encore bien mystérieux s’arrête ici pour le moment, faute de n’avoir pu trouver plus d’informations à son sujet. Espérons que le hasard, une nouvelle fois, nous permette de découvrir d’autres pistes de recherches…

Jean-Michel Strobino (numéro 131 de Philao,  2e trimestre 2023).

Numérisé :

https://www.academia.edu/9626874/Félix_AGASSIZ_sur_la_piste_laotienne_d_un_photographe_français_oublié

 

Les articles de Jean- Michel Strobino concernan le Laos se retrouvent sur

https://independent.academia.edu/STROBINOJeanMichel

 

La contribution de Jean-Miche Strobino à notre blog :

Aménagement du chemin de fer sur le cours du Mékong

Invité 1- LAOS : LE CHEMIN DE FER DES CANONNIÈRES. Un Article De Jean-Michel STROBINO.

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2015/05/invite-1-laos-le-chemin-de-fer-des-canonnieres-un-article-de-jean-michel-strobino.html

Réhabilitation de la sépulture d’Henri Mouhot, découvreur d’Angkor.

INVITÉ 2 - HISTOIRE DE LA SÉPULTURE D’HENRI MOUHOT ET DE SON MONUMENT FUNÉRAIRE 1861-1990

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2015/07/histoire-de-la-sepulture-d-henri-mouhot-et-de-son-monument-funeraire-1861-1990.html

INVITÉ 2 (SUITE) - LE MONUMENT FUNÉRAIRE D’HENRI MOUHIOT VU PAR LE « BANGKOK POST »… RENDONS DONC Á CÉSAR CE QUI APPARTIENT A CÉSAR

La cartographie ancienne de la région

A 336 - LE LAOS, CARTES SUR TABLE. UN ARTICLE DE JEAN-MICHEL STROBINO

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2019/10/a-336-le-laos-cartes-sur-table.article-de-jean-michel-strobino.html

Un pionnier méconnu

A 191 – LE COMMANDANT JULES DIACRE (1864 – 1903) UN HÉROS OUBLIÉ DU MÉKONG.

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2015/08/a-191-le-commandant-jules-diacre-1864-1903-un-heros-oublie-du-mekong.html

Monuments retrouvés : Le monument commémoratif du naufrage du La Grandière La tombe du caporal Jean Dumont

NOUVELLES TROUVAILLES AU FIL DU MEKONG - PAR JEAN-MICHEL STROBINO

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2016/01/nouvelles-trouvailles-au-fil-du-mekong-par-jean-michel-strobino.html

Le temple de Thatphanom

DES HOLLANDAIS DU WAT PA KE DE LUANG PRABANG AUX HOLLANDAIS DU TEMPLE DE THAT PHANOM EN ISAN (NORD-EST)

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2017/06/des-hollandais-du-wat-pa-ke-de-luang-prabang-aux-hollandais-du-temple-de-that-phanom-en-isan-nord-est.html

Gastronomie

INSOLITE 8 - KHAÏ PHAEN : SPÉCIALITÉ GASTRONOMIQUE DE LUANG-PRABANG ET DÉLICE SUR LES DEUX RIVES DU MÉKONG.

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2016/12/insolite-8.khai-phaen-specialite-gastronomique-de-luang-prabang-et-delice-sur-les-deux-rives-du-mekong.html

Vincent Rouffiandis

UN « PIONNIER » MÉCONNU DU MÉKONG, VINCENT ROUFFIANDIS, « LE BON DOCTEUR DU LAOS »

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2017/08/un-pionnier-meconnu-du-mekong-vincent-rouffiandis-le-bon-docteur-du-laos.html

UN « PIONNIER » MÉCONNU DU MÉKONG, VINCENT ROUFFIANDIS, « LE BON DOCTEUR DU LAOS » - DEUXIÉME PARTIE.

https://grande-et-petites-histoires-de-la-thailande.over-blog.com/2017/08/un-pionnier-meconnu-du-mekong-vincent-rouffiandis-le-bon-docteur-du-laos-deuxieme-partie.html

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